Remplir le réservoir de son véhicule en quelques clics chez soi reste un rêve inaccessible pour de nombreux locataires d’immeubles, freinés par la complexité administrative et technique entourant la pose d’une borne de recharge en garage individuel loué. Ce défi quotidien pénalise une mobilité plus propre, privant une large part de la population urbaine d’accéder facilement à l’électromobilité. Pourtant, la législation du “droit à la prise” apporte une solution concrète, redessinant l’équilibre entre prérogatives des locataires et contraintes des propriétaires ou syndics. Face à la montée du nombre de voitures électriques en France, des acteurs comme EDF et IziMobilité ou TotalEnergies ont adapté leurs offres. Désormais, l’installation d’un point de recharge sur sa place de parking louée devient bien plus qu’une simple option : une démarche essentielle pour accompagner la transition énergétique des villes.
Comprendre le droit à la prise pour les garages individuels loués
Les utilisateurs de véhicules électriques savent trop bien la frustration face à l’impossibilité de recharger facilement à domicile, particulièrement lorsqu’ils sont locataires d’une place de garage en immeuble collectif. Longtemps considérée comme un privilège réservé aux propriétaires de maisons, la recharge domestique est désormais encouragée par une réglementation claire : le droit à la prise. Cette disposition légale, comparable à celle relative à l’antenne télé, donne à tout occupent – locataire, propriétaire ou occupant de bonne foi – la possibilité de réclamer l’installation à ses frais d’un dispositif de recharge sur sa place de stationnement, même s’il ne possède pas le logement ou le parking.
Concrètement, ce droit vise à lever le principal frein au développement de l’électromobilité en habitat collectif : la difficulté d’installer un équipement individuel dans des espaces partagés ou loués. Ce mécanisme est fondé sur les décrets de juillet 2011 et de décembre 2020, qui précisent que la demande ne peut pas être refusée sans justification technique sérieuse. Le cadre s’est étendu en 2021, englobant toutes les configurations de parkings, qu’ils soient extérieurs, clos ou couverts, rendant ainsi la recharge accessible à tous les résidents d’immeubles, y compris pour ceux dont le bail ne porte que sur un garage.
Un exemple fréquent : Camille, locataire d’un garage individuel dans une résidence à Lyon, souhaite acquérir une Renault Zoé. Elle craint que son statut ne l’empêche d’équiper son emplacement d’une Wallbox ou d’une borne GreenUp de Schneider Electric. Grâce au droit à la prise, elle envoie une lettre recommandée à son propriétaire, qui transmet la demande au syndic. Tant que les règles sont respectées et que l’installation n’altère pas les parties communes, Camille peut avancer dans son projet, renforçant non seulement sa liberté de choix mais aussi la valeur locative de sa place de garage.
L’enjeu dépasse le simple confort personnel. Ce droit répond à une attente de plus en plus forte, alors que les villes françaises multiplient zones à faibles émissions et restrictions sur les véhicules thermiques. Adopter un véhicule propre dans ce contexte sans pouvoir recharger chez soi reviendrait à mettre la charrue avant les bœufs. D’où l’importance du droit à la prise, autant pour la transition écologique que pour l’équité entre copropriétaires et locataires.
La popularisation du droit à la prise a transformé le marché : des sociétés telles que Blink Charging, Zenuity, ou ChargePoint rivalisent d’offres adaptées, tandis qu’EDF ou TotalEnergies élargissent leurs solutions “clé en main” pour tous les profils de résidents d’immeubles. Mais la dynamique ne s’arrête pas là. Elle amorce une mutation profonde du rapport à l’énergie, dans laquelle le résident locataire retrouve un réel pouvoir d’agir.
Les conditions d’application du droit à la prise dans les garages loués
Nombre de locataires hésitent encore à se lancer, mal informés sur la portée de la loi ou redoutant les obstacles techniques. Pourtant, que vous louiez un parking individuel fermé attenant à un appartement ou un simple box extérieur dans une copropriété, le droit à la prise s’impose. Il n’y a pas de discrimination liée au statut de locataire : seul le type d’installation (inférieure ou égale à 22 kW) et le respect des normes de sécurité entrent en ligne de compte. L’installation doit obligatoirement passer par un professionnel certifié IRVE afin d’assurer la sécurité du réseau et la conformité à la réglementation, condition sine qua non pour bénéficier des aides financières, du crédit d’impôt, ou d’un taux de TVA réduit à 5,5 %.
La procédure reste identique, que le locataire agisse pour son propre compte ou par l’entremise du propriétaire. Cela garantit que la démocratisation des véhicules électriques ne tombe pas dans un écueil d’inégalité d’accès à la recharge. Sur le terrain, des prestataires comme IziMobilité accompagnent désormais spécifiquement les locataires pour simplifier leurs démarches – preuve que le droit à la prise n’est plus l’apanage des propriétaires d’immeubles neufs ou des copropriétaires avertis, mais s’installe durablement comme un outil d’émancipation énergétique en milieu urbain.
Procédures et démarches pour installer une borne de recharge en location
L’un des points sensibles de l’accès à la recharge privative pour les locataires réside dans le parcours administratif à suivre avant même de brancher sa première prise. Si la législation française protège le droit à la prise, elle impose une stricte procédure, pensant autant à la sécurité qu’à la préservation des intérêts des différentes parties concernées : locataires, propriétaires, syndics de copropriété. Mais loin d’être un parcours du combattant, ces étapes constituent le socle d’une installation durable et conforme, gage de sérénité pour tous les acteurs.
Au commencement du processus, le locataire – ou le propriétaire mandaté par ce dernier – doit informer officiellement le syndic de copropriété du projet, via une lettre recommandée avec accusé de réception. Cette démarche doit anticiper d’au moins trois mois la date de la prochaine assemblée générale. Il s’agit ici moins d’une demande d’autorisation que d’une notification : le droit à la prise fait loi, ce qui signifie que le syndic ne peut s’y opposer qu’en cas de motif technique solide. Cette nuance est fondamentale, car elle place le locataire sur un pied d’égalité avec les propriétaires en matière de droits liés à la mobilité électrique.
En amont, il est conseillé de solliciter un devis auprès d’un spécialiste, comme Engie, GreenUp ou IziMobilité, qui proposera un plan technique détaillé. Ce document, joint à la notification, évite les quiproquos lors de l’assemblée générale. Le syndic inscrit le projet à l’ordre du jour et le présente pour information. Il n’y a pas de vote à obtenir, signe de la volonté du législateur d’accélérer la transition écologique et d’éviter les blocages souvent constatés en assemblée.
À titre d’exemple, imaginons Alex, qui loue un garage au sous-sol d’un immeuble bordelais. Après avoir déniché l’offre adaptée avec Wallbox sur les conseils d’EDF, il transmet au propriétaire une synthèse des travaux à venir, qui servira de pièce jointe à la notification. Le syndic, informé dans les formes, ne dispose que de trois mois pour motiver un refus éventuel, par exemple si la structure de l’immeuble ou le réseau électrique se révèlent inadéquats pour accueillir une borne de recharge.
Une fois le délai écoulé et sans opposition, le contrat d’installation peut être signé. Ce contrat précise les modalités d’accès aux parties communes, la gestion de la facturation électrique (souvent via compteur individuel Linky), ainsi que la maintenance et la gestion de l’équipement. Des entreprises comme Zenuity ou Blink Charging proposent désormais des solutions intégrées incluant support, suivi, dépannage et entretien à distance.
L’étape finale consiste à laisser intervenir un professionnel qualifié IRVE, qui réalise une étude préalable du site. Selon la situation, la borne sera reliée soit au compteur des parties communes avec un sous-compteur, soit à un compteur nouvellement créé spécifiquement pour la borne. Ce choix dépendra notamment de l’intérêt du locataire à dissocier sa consommation et à garder la main sur son fournisseur (par exemple, continuer avec EDF ou passer chez TotalEnergies selon les besoins tarifaires).
Les subtilités administratives et techniques à maîtriser
Une question récurrente concerne la gestion des locaux techniques lors de la pose, véritable casse-tête en habitat collectif. Le syndic doit veiller à permettre l’accès au professionnel choisi, sans entraver le processus, sauf impossibilité technique ou décision collégiale préexistante d’installer une solution globale. Dans ce cas, si les travaux collectifs tardent, le locataire retrouve son droit d’installer sa borne individuellement après six mois d’attente.
Autre enjeu : la convention de passage avec le syndic. Si aucun accord n’est signé dans les deux mois suivant la notification, la loi prévoit la possibilité de saisir le président du tribunal judiciaire pour fixer les modalités d’accès aux locaux techniques. Cette disposition évite les abus de blocage, garantissant que le droit à la prise soit effectif et non théorique.
Avantages, limites et solutions face aux obstacles rencontrés
Profiter d’un point de recharge à domicile lorsque l’on loue un garage en copropriété offre des avantages déterminants. Premièrement, cela signifie pouvoir recharger son véhicule à toute heure, sans dépendre d’une borne publique parfois éloignée ou déjà occupée. La souplesse est totale, renforcée par la personnalisation des configurations (choix du fournisseur, puissance ajustable entre 3 et 22 kW). La valorisation de la place de parking constitue un autre atout non négligeable, car un garage équipé attire davantage d’automobilistes à la recherche d’un logement pratique, et cela se répercute sur la valeur locative.
Pourtant, certains obstacles subsistent. La résistance ou les habitudes du syndic, les contraintes imposées par un réseau électrique vieillissant, ou des coûts d’installation parfois jugés élevés par rapport à une solution mutualisée, peuvent refroidir les ardeurs. Il n’est pas rare que des occupants fassent face à des années d’inertie dans des immeubles où la modernisation des infrastructures peine à avancer, même lorsque la demande de véhicules électriques explose.
Le cas de Paul, locataire d’un box dans une résidence de Marseille, est édifiant. Malgré sa demande conforme et des devis proposés par des sociétés reconnues comme ChargePoint ou Schneider Electric, le syndic a tenté de retarder l’étude technique sous prétexte de futures rénovations communes. Résolu, Paul a saisi le président du tribunal, qui a rappelé la prévalence du droit à la prise en l’absence de justification technique incontestable. Cet exemple montre la nécessité, pour les locataires, d’être vigilants et de connaître leurs droits jusqu’au bout.
Face au coût du projet, l’accès à un crédit d’impôt de 75 % (plafonné à 500 € par borne connectée) facilite le passage à l’acte, surtout si l’on fait appel à un professionnel reconnu. De surcroît, le taux réduit de TVA et la possibilité de choisir son offre entre EDF, TotalEnergies ou d’autres concurrents permettent d’optimiser la solution sur mesure selon ses besoins et son budget.
Enfin, dans certains cas, la mutualisation à l’échelle de la copropriété s’avère préférable, même pour un locataire, qui pourra raccorder sa borne individuelle à une installation collective, mutualisant coûts et entretien. Ce choix, encouragé par le programme Advenir pour les solutions globales, peut être discuté en amont avec le syndic, à condition que les travaux soient effectivement lancés dans les délais légaux. Ce modèle hybride illustre la capacité du droit à la prise à s’adapter aux réalités pratiques d’un parc immobilier éclectique, où chaque garage individuel, même loué, peut devenir un atout pour la mobilité électrique.
Quelles solutions en cas de refus ou restriction ?
Lorsque le syndic oppose un refus, il doit appuyer sa décision par un motif technique précis, comme l’insuffisance du réseau ou un projet collectif imminent. Si ces conditions ne sont pas réunies, le résident peut solliciter une médiation, puis entamer une procédure judiciaire accélérée pour faire valoir son droit. Ce mécanisme limite les risques d’arbitraire et met la copropriété devant ses obligations de modernisation.
Un deuxième levier réside dans la négociation personnalisée avec le propriétaire, qui peut accompagner le projet afin d’accroître l’attractivité du logement, une démarche de plus en plus courante à mesure que le parc de véhicules électriques s’étend. De nombreuses agences de location immobilière intègrent désormais l’équipement d’une borne dans leurs critères de sélection de garage, anticipant la demande de futurs locataires.
Aides et financement pour l’installation d’une borne en location individuelle
L’une des inquiétudes majeures lors de l’installation d’un point de recharge sur place louée demeure le budget. Entre l’achat de la borne, le raccordement, la main-d’œuvre et la maintenance, la facture peut vite grimper. Cependant, grâce à des mécanismes incitatifs, le coût net reste raisonnable, surtout si l’on cible les aides cumulables à condition de faire appel à un professionnel labellisé.
Le crédit d’impôt constitue le principal levier, offrant une réduction de 75 % sur le montant du projet, plafonnée à 500 euros par équipement pilotable. Un tel dispositif, sans condition de ressources, permet d’élargir l’accès à tous les profils, locataires y compris. La facture doit toutefois détailler l’ensemble des éléments (lieu, puissance, nature et marque de la borne). Il est vivement conseillé d’opter pour des références reconnues – Wallbox, GreenUp de Schneider Electric, ou solutions “tout-compris” de Blink Charging, qui facilitent l’obtention de l’avantage fiscal.
En complément, la TVA réduite à 5,5 % s’applique dès lors que les travaux sont réalisés par une entreprise qualifiée. Les économies deviennent substantielles, notamment sur la pose, qui représente une part importante du coût final. Certaines municipalités et régions ajoutent par ailleurs des subventions ponctuelles selon les objectifs locaux de mobilité propre, à surveiller lors du choix de l’emplacement (Paris, Lyon, ou Marseille étant particulièrement généreuses selon les années).
Quant à la prime Advenir, elle cible prioritairement les infrastructures collectives, mais il peut être judicieux pour un locataire de se concerter avec ses voisins ou son propriétaire pour lancer une initiative commune, déclenchant ainsi ce soutien (jusqu’à 50 % des frais et 960 € HT par point de charge). Là encore, le professionnel IRVE sélectionné, qu’il s’agisse d’Engie, IziMobilité ou d’un acteur national comme Zenuity, pourra accompagner le montage du dossier, maximisant les aides mobilisables.
Le coût final, souvent inférieur à celui d’une solution publique en termes de temps perdu et d’autonomie sacrifiée, doit être mis en perspective par rapport à la valeur ajoutée immédiate : confort de recharge, sécurisation de la voiture, et possibilité de programmer hors-pleines grâce aux options tarifaires de EDF, TotalEnergies ou ChargePoint, qui se disputent désormais le marché avec des offres innovantes “heures creuses intelligentes”.
Monter un dossier solide pour bénéficier de toutes les aides
Réaliser un dossier de demande d’aides exige rigueur et anticipation. Il est indispensable de conserver chaque document relatif au devis, à l’installation, ainsi que les attestations de conformité remises par le professionnel. Les offres de Schneider Electric, Wallbox ou de solutions partenaires d’EDF et IziMobilité incluent désormais souvent un volet d’accompagnement administratif, ce qui simplifie grandement la démarche, notamment pour les locataires moins aguerris face à la paperasserie.
Au-delà du crédit d’impôt, la gestion optimisée de la facturation (par ex., installation d’un compteur Linky individuel) permet de suivre sa consommation en temps réel et d’adapter son contrat énergétique au profil du véhicule et aux usages. À l’horizon 2025, la généralisation de la recharge intelligente pilotée à distance (télégestion du pilotage de charge, programmation nocturne) représente un atout à long terme, valorisé dans le cadre d’une location où les hausses du coût de l’énergie sont anticipées par l’optimisation logicielle des bornes (notamment chez Zenuity ou ChargePoint).
Choisir une borne de recharge compatible et sécurisée en garage loué
Au-delà des démarches légales et des aides, le choix de la borne conditionne la réussite du projet. Une attention particulière s’impose dans les garages individuels loués, où la compacité, la sécurité et la discrétion de l’équipement sont clefs. Il convient de privilégier les modèles conformes aux normes françaises et européennes, dotés de protections différentielles et d’un dispositif de coupure automatique. Parmi les modèles les plus recherchés, la borne GreenUp de Schneider Electric affiche une compatibilité avec l’essentiel du parc automobile, tandis que Wallbox séduit par sa flexibilité de puissance réglable et sa fonction pilotage à distance.
La sécurité n’est pas seulement affaire de norme électrique, mais aussi de garantie de conformité face à la copropriété. Un professionnel IRVE remettra une attestation à transmettre au syndic, preuve que l’installation ne fait courir aucun risque au bâti collectif. Les grandes marques comme Blink Charging, Zenuity ou ChargePoint intègrent dans leurs offres des garanties étendues (jusqu’à 5 ans) et un service de maintenance, limitant ainsi les sources d’inquiétude pour locataires et propriétaires.
Le positionnement de la borne dans le garage doit également être réfléchi : l’accès à la prise, la longueur du câble, mais aussi la protection contre les chocs ou l’humidité sont des aspects à anticiper. Certains modèles développés par Engie ou TotalEnergies embarquent des détecteurs de défaut ou des systèmes d’arrêt automatique en cas de problème pour éviter tout incident, idées appréciées par les syndics soucieux d’éviter les litiges.
La compatibilité avec la télégestion – permettant un pilotage par smartphone, historisation des charges, programmation sur les créneaux de faible demande – devient un critère de choix décisif. Cela permet d’optimiser la consommation, de bénéficier d’un tarif préférentiel (voire d’une recharge gratuite lors de pics de production renouvelable selon certaines offres EDF ou Engie), et de prouver la conformité environnementale de l’utilisation du véhicule. Pour le locataire, ces fonctionnalités représentent à la fois un gain économique et une tranquillité d’esprit, renforçant la pertinence d’un investissement sur une place de parking louée.
L’évolution des bornes et de leurs services intégrés pour les locataires exigeants
La génération 2025 de bornes de recharge se distingue par l’intégration de services à valeur ajoutée, bouleversant la donne pour les locataires. Les offres couplées à une application mobile (permettant de programmer, suivre, ou même partager la borne) séduisent ceux qui voient dans la recharge un enjeu d’autonomie et de community management. Les fournisseurs historiques, tels qu’EDF ou Engie, enrichissent leur palette avec des bornes évolutives, adaptables en cas de déménagement ou de revente du véhicule.
L’apparition de modèles portables, à fixer puis à retirer lors du départ du locataire, facilite également la mobilité, tout en préservant la valeur de l’investissement initial. Ce type de solution intéresse particulièrement les locataires soucieux de flexibilité, ou vivant dans des immeubles où la durée d’occupation est parfois courte. La course à la performance s’intensifie entre Wallbox, Schneider Electric, Blink Charging et des acteurs émergents, chacun rivalisant d’ingéniosité pour faire de la recharge domestique en location une réalité accessible, écoresponsable et sécurisée.
Ainsi, loin de n’être qu’une prérogative des propriétaires, l’installation d’un point de recharge dans un garage individuel loué apparaît désormais comme une étape clé de l’indépendance énergétique, soutenue par un cadre légal robuste et une multitude de solutions évolutives signées par les leaders du secteur.